La troisième demande fut la bonne. Le commandant de brigade André S. Ouédraogo écroué depuis plus de deux mois à la Maison d’arrêt et de correction de Ouagadougou a bénéficié le mercredi 06 juillet dernier d’une mise en liberté provisoire. C’est une liberté d’office. Selon le Code de procédure pénale, lorsqu’une juridiction correctionnelle est saisie,…