Même au sommet de sa dictature, le président Gnassingbé Eyadema connaissait bien ses limites : les femmes commerçantes, ces Nanas Benz étaient sa peur bleue. Le dictateur n’hésitait pas à réprimer les manifestations contre son pouvoir mais ces femmes-là étaient manifestement sa grande faiblesse. Elles avaient en effet une arme de destruction massive: le chantage…
Les dieux nous sont-ils tombés sur la tête ?

Par Mahamadi SAKANDE
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