Recrutement insuffisant du personnel, vente de biens de l’Etat, traitement discriminatoire, voire raciste entre fournisseurs burkinabè et marocains…les travailleurs de l’Office national de télécommunication (Onatel) aujourd’hui Moov Africa sous la houlette du Syndicat national des travailleurs de télécommunication (Synatel) ne décolèrent pas de la gestion de la société de téléphonie cédée depuis décembre 2006 au groupe Maroc Télecom. Ils ont organisé un mouvement d’humeur d’un mois qui a secoué la maison. La direction générale de Moov Africa, de son côté, se mure dans le silence. Elle n’a pas répondu à nos sollicitations. Plongée dans l’univers de cette crise.
L’homme est habillé en boubou blanc, coiffé d’une casquette blanche et de chaussure blanche. Il marche à pas rapides. Il franchit la porte suivi d’un groupe. Arrivé à hauteur d’un taxi garé à la devanture du bâtiment, il ouvre la portière côté passager du taxi. Il invite deux hommes habillés en costume cravate à y…
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