En ce mois de mai, c’est de la liberté de la presse qu’on a le plus parlé. Par deux fois, en moins d’une semaine, la présidente du CSC s’est retrouvée face aux publics des médias pour défendre ses vues « éculées » sur des notions improprement définies et donc forcément sujettes à caution. C’est quoi la notion…
Comment on se fait l’avocat des causes perdues !
Par Mahamadi SAKANDE
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