La presse privée burkinabè est malade. Qu’elle soit écrite, en ligne ou audiovisuelle, économiquement parlant. Un mal qui menace son existence. Des taxes et impôts inadaptés à l’économie des médias. C’est le mal qui ronge tous les organes de presse privés. Ils subissent diverses charges liées au régime général de la fiscalité des entreprises commerciales….