L’enseignement supérieur burkinabè est un grand corps malade. « Provoquer l’électro-choc nécessaire » à ce mal, c’est l’idée qui a sous-tendue la tenue des états généraux sur ce grade d’enseignement. Environs 450 participants se sont retrouvés du 13 au 15 juin 2013 à Ouagadougou à cet effet. Les débats ont été houleux et certains sont repartis frustrés….